L’héritage du Salésien
Un peu d’histoire
La construction du Salésien a débuté le 29 avril 1962 sur la butte Don Bosco. Puisque le bâtiment n’était pas prêt pour la rentrée scolaire, les élèves et le personnel ont commencé les cours au Camp Savio de Sainte-Catherine de Hatley, qui avait été acquis quelques mois auparavant.
À la grande satisfaction de la communauté salésienne et des jeunes, la prise de possession de l’édifice, pas tout à fait achevé, s’est effectuée à la fin du mois d’octobre 1962. Et cela d’une façon très originale : la marche de la première rentrée, le 27 octobre 1962.
Depuis, le Salésien a construit le pavillon Don Bosco pour y accueillir les élèves du 1er cycle. Un gymnase double, le plateau multisport Desjardins et le Centre Québecor ont aussi été construits pour faciliter le développement de nos jeunes tant du côté artistique que du côté sportif.
Depuis l’été 2021, le Salésien se modernise continuellement. Tous les locaux du premier cycle ont été rénovés et c’est maintenant aux locaux du 2e cycle de pouvoir être améliorés au niveau de l’esthétique et au niveau pédagogique avec l’aménagement de classes flexibles. Sans oublier la création de deux classes extérieures aménagées pour permettre à nos élèves d’étudier en pleine nature. Le Salésien est et sera toujours un milieu de vie stimulant et innovant pour les élèves et le personnel.
La philosophie éducative du Salésien
« Le système préventif cherche à éduquer par la douceur. » Voilà le fondement de la pédagogie de Don Bosco qui repose sur quatre fondements : la paroisse, l’école, la famille et la cour de récréation.
Selon Don Bosco, l’équipe éducative doit être animée par une sorte « d’esprit de famille », ce qui rend la communauté éducative signifiante pour le jeune.
Éduquer, c’est croire en ce jeune que l’on a en face de soi : « Je crois en toi, tu es capable de grandir, je suis prêt à te faire confiance. »
Éduquer, c’est aussi espérer avec le jeune qu’on peut construire ensemble un monde plus juste et fraternel.
Éduquer, c’est aimer les jeunes tels qu’ils sont, et non tels qu’on voudrait qu’ils soient, pour les aider à bâtir leur propre avenir.